Olympic Fundraising pour recenser le sport impact

Olympic Fundraising, c’est l’idée d’un jeune lorrain de 21 ans : Théo Grosgeorge, qui vit aujourd’hui à Paris et dont les parents sont d’origine déodatienne. L’étudiant de Sciences Po, passionné de sport, se bat pour mettre en avant son impact… Avec son association. L’objectif d’Olympic Fundraising est simple : répertorier, sur un site internet avec une carte interactive, les projets associatifs qui s’inscrivent dans la lignée du sport impact. Et le sport impact, c’est tout simplement, par exemple, un projet qui lutte pour l’égalité des chances, en la faveur de la protection des réfugiés ou encore pour l’accès du sport aux femmes partout dans le monde. Ce ne sont que des exemples parmi beaucoup de possibilités. Aujourd’hui, le site internet de Théo Grosgeorge répertorie une vingtaine de projets associatifs et mondiaux.

On trouve notamment des projets au Nigéria, en Pologne, en Egypte, au Kenya, en Afghanistan… Nourris de diverses expériences associatives, notamment auprès des jeunes du FC Metz et au sein d’un centre de réfugiés où il a animé des ateliers sportifs, Théo a ensuite entamé une année d’études en Arizona (Etats-Unis), ce qui lui a permis de s’ouvrir encore plus et se faire des amis aux quatre coins du monde.

Il a décidé de lancer, en parallèle de ses études, son association en mars dernier, à l’aube des Jeux Olympiques de Paris… Un événement qui rassemble des milliards de personnes, et qui peut lui servir de rampe de lancement. Le plus gros du boulot pour Olympic Fundraising, c’est vérifier la fiabilité des informations et propositions… Parce que le but, dans tout cela, c’est de faire connaître les ONG à de potentiels donateurs. Théo Grosgeorge attend avec impatience les Jeux Olympiques de Los Angeles (2028) en espérant que son bébé aura bien grandi d’ici là.